Chaque pilote doit apprendre à voler en vol VFR (Visual Flight Rule) et chaque pilote doit réussir. Il s'accorde avec l'avion, découvre ses attitudes et ses mouvements, navigue et évite les obstacles et autres aéronefs. Le pilote en commande (PIC) de tout aéronef est responsable indépendamment de l’instruction extérieure. Plus important encore, comme un pilote VFR doit garder une référence visuelle avec la Terre, il est crucial de savoir et de comprendre quand il est (et n'est pas) sûr de voler sous les conditions météorologiques; minimum étant VMC (Visual Meteorological Conditions). Cela dit, il s'agit d'un guide simple pour la planification et l'exécution d'un vol VFR sûr. Bonne atterrissage et garder le nez en l'air!
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1 Être qualifié. Avant de prendre l'avion: Avant de prendre l'avion, un pilote doit être qualifié et détenir les licences appropriées ou avoir un instructeur de vol aligné. Bien que l’excitation puisse tirer le meilleur d’un pilote, il doit examiner attentivement le manuel d’utilisation du pilote, obtenir un briefing météorologique pour s’assurer que toute la durée du vol se situera dans les minimums VFR et revoir les procédures pour les situations problématiques. -vol. Chaque pilote devrait prévoir des rations alimentaires précises, du matériel de survie et des vêtements appropriés pour les conditions extérieures, y compris des gilets de sauvetage (si la distance de vol plané est supérieure à la distance de vol).
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2 Préparez-vous aux urgences: Lire et comprendre le POH de l'avion peut être essentiel pour se remettre d'une mauvaise situation. Il est beaucoup plus facile de suivre les étapes déjà mémorisées que de parcourir le livre en panique. La sécurité est primordiale! Assurez-vous de bien connaître les procédures à suivre en cas de panne moteur pendant le décollage, panne de moteur en croisière, moteur accidenté, incertitude sur la position, perte, incendies, pannes électriques, etc.
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3 Planifiez votre vol: La planification des vols a un processus assez invariable, bien que les résultats et les informations soient uniques à chaque fois. Un pilote doit calculer le poids brut de l'avion et déterminer si le centre de gravité se situe dans les limites. Cela changera les performances de l'avion; un avion mal équilibré est un accident imminent. La navigation pour les vols VFR est compatible avec les cartes VNC (carte de navigation VFR) et VTA (carte de zone terminale VFR), avec des indications pour les carrières, terrains de golf, cascades, etc. informations aéroportuaires. Les VTA sont des cartes à plus grande échelle, donnant plus de détails sur les procédures d’arrivée et de départ. Un pilote doit vérifier tous les NOTAM (avis aux aviateurs) en suspens, préparer une carte et un journal de vol, déposer un plan de vol et s’assurer qu’il aura suffisamment de lumière à son arrivée (sans cote de nuit).
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4 Effectuez un Walkaround: Le pilote de tout vol doit être parfaitement au courant de l'état de l'avion et doit apporter tout ce qui concerne le mécanicien ou l'instructeur sur le site. Le walkaround donne au pilote la possibilité de vérifier toutes les surfaces extérieures contaminées; être des insectes, de la glace, du givre, de la saleté, etc., ainsi que des contrôles de carburant et d'huile. L'importance de déterminer la navigabilité d'un avion ne peut être sous-estimée; Le gel sur les ailes d'un avion peut à lui seul réduire l'efficacité du levage de 30% et augmenter la traînée de 40%. Les vérifications ambiantes comprennent le prélèvement d'échantillons de carburant pour vérifier la présence de contamination, en veillant à ce qu'il y ait une quantité de carburant suffisante pour le vol et en vérifiant la quantité d'huile contenue dans le moteur. Chaque avion a une liste de contrôle pour la visite guidée, commençant à l'intérieur du poste de pilotage en s'assurant que tous les documents, les premiers secours, l'extincteur, etc. sont là et intacts. Enfin, le pilote vérifie que les mousses, les étiquettes «Remove Before Flight» et les fixations sont détachées.
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5 Contrôle en amont: Il est courant que tout soit planifié et prêt à partir, puis que le temps commence à couler. Obtenez un bulletin météo actuel. Un pilote professionnel et responsable se rendra compte que si les conditions ne sont pas bonnes, vous ne volez pas! Soyez patient pour les jours plus calmes. Pendant la phase de contrôle en amont, le pilote doit vérifier que le manuel d'utilisation de l'avion, le journal, les graphiques, l'ordinateur, les crayons, l'équipement de survie, les vêtements et les lunettes de soleil sont installés dans l'avion. Maintenant que le travail de base est terminé, le pilote peut appeler le contrôle de la circulation aérienne (ATC) pour obtenir un code de transpondeur (transmetteur-répondeur) pour la reconnaissance de l'avion sur les écrans radar. Les passagers peuvent également être informés à ce stade.
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6 Décollage: Un pilote doit éviter les décollages aux intersections. De nombreuses pistes nécessitent un avion pour «revenir en arrière» sur toute la longueur de la piste. Gardez à l'esprit les vitesses de décollage et les procédures de panne moteur et laissez-vous aller à mi-chemin si tous les systèmes ne sont pas prêts à ce stade. Vérifiez que le moteur sonne bien et que l'hélice tourne à pleine puissance. Lisez et complétez les listes de vérification, assurez-vous que les jauges de température et de pression affichent de bonnes lectures. S'il existe une unité de contrôle de la circulation aérienne (ATC), le pilote doit demander l'autorisation de décoller. Toujours utiliser l'axe de la piste et consacrer toute l'attention à la tâche à accomplir.
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7 Connaissez vos fonctions En vol: Un pilote a trois priorités lorsqu'il vole: avier, naviguer et communiquer - et dans cet ordre. Une fois installé dans une attitude de vol de croisière, un pilote devrait lire sa carte et la suivre jusqu'au sol, en anticipant les points de repère, comme indiqué. En vol VFR, un pilote doit rester à moins de 500 pieds de la base des nuages (dans l’espace aérien contrôlé), afin d’avoir un contact visuel clair en tout temps. Sur un vol de cross-country, le pilote ou le co-pilote devrait calculer la consommation de carburant et la vitesse au sol, conformément au plan de pré-vol.Lorsque le temps de vol des chars est réduit à 30 minutes pendant la journée, ou à 45 minutes la nuit, le pilote doit prévoir d'atterrir et de faire le plein.
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8 Préparez-vous à l'arrivée: Avant d'arriver à destination, le pilote a plusieurs choses à penser et à coordonner. Environ vingt minutes avant l'atterrissage, le pilote devrait examiner le Supplément de vol Canada (CFS) pour reconfirmer les informations de l'aéroport (hauteur du circuit, altitude, longueurs de piste et cap) et revoir les vitesses d'approche, les limites de vent latéral et les volets. Environ dix minutes plus tôt, le pilote doit diffuser son emplacement actuel, ses intentions et obtenir les informations sur la circulation locale. Si plusieurs avions arrivent, l'ATC informera le pilote de son numéro de séquence pour l'atterrissage. Entre cinq et dix minutes avant l'atterrissage, le pilote devrait régler l'altimètre à la pression de la station émettrice, vérifier les vents de surface et continuer à rechercher d'autres véhicules. Si les vents de travers dépassent les limites, le pilote devrait atterrir ailleurs. Les phares d'atterrissage seront allumés et le pilote pourra alors rejoindre le circuit après avoir signalé. La vérification de la manche à air est importante, de sorte que l’avion atterrit dans le vent pour assurer un refroidissement suffisant du moteur et une plus grande résistance.
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9 Terre: L'atterrissage est un point critique dans tout vol. Les pilotes doivent être capables de reconnaître où l’avion atterrira, à partir du moment où il se trouve dans les airs. En cas de chute ou de turbulence, ajoutez de la puissance rapidement. Vérifiez et revérifiez la manche à air à mesure que l'avion se rapproche de la piste et examinez la procédure de dépassement. Il est plus sûr de se déplacer à nouveau ou de demander un remplaçant, plutôt que d'avoir un mauvais atterrissage! Alignez-vous avec la ligne centrale blanche de la piste et restez aligné pendant l'approche, le toucher et le déploiement. Prévoyez que l’avion atterrisse par le premier tiers d’une piste pavée, au premier quart si il ya de l’herbe. Appliquez les freins immédiatement si nécessaire. un petit avion peut être capable de rouler lentement sur la longueur de piste restante.
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10 Fermer: Le vol a été réussi et tout le monde est en sécurité. Les passagers doivent rester assis jusqu'à ce que les supports se soient arrêtés. Le pilote a la responsabilité de fermer le plan de vol dès que possible, de sorte que les opérations de recherche et de sauvetage (SAR) ne reçoivent pas d'alarmes leur indiquant que l'avion n'est pas arrivé à l'heure. Assurez-vous également que l'émetteur de localisation d'urgence (ELT) n'est pas activé. Les atterrissages difficiles peuvent faire en sorte que l’ELT se déclenche sans qu’il y ait un accident ou une raison d’enquêter. Si l'avion est faible en carburant, il est de la courtoisie de le ravitailler pour le prochain vol. Cela aide également à éliminer l'accumulation d'eau dans les réservoirs de l'aile, en maintenant le carburant pur. Enfin, le pilote doit attacher l’avion, mettre des cales de roue, insérer des mousses et remplacer les balises «Remove Before Flight».
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