Les écrivains apprennent très tôt dans leur carrière que les bordereaux de rejet font partie du travail. Qu'il s'agisse d'une première requête ou d'un auteur chevronné, tous les rédacteurs doivent avoir des chefs-d'œuvre refusés par les rédacteurs et les agents. Bien qu'il ne soit jamais facile ou agréable de recevoir des commentaires négatifs, il existe des moyens d'apprendre à gérer les bordereaux de rejet.
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1 Réalisez que vous n'êtes pas seul. Cela peut sembler être le cas lorsque vous ouvrez l'enveloppe, et les mots sur la page peuvent piquer votre ego, mais vous êtes en bonne compagnie. Même les auteurs les plus célèbres qui se sont enrichis ont eu leur part de rejet.
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2 Comprenez que le dérapage n'est pas personnel. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles votre travail a pu être rejeté, par exemple une pièce similaire a peut-être déjà été achetée, le ton n'était pas tout à fait correct ou l'éditeur était simplement en train de passer une mauvaise journée. Quelle que soit la raison, rappelez-vous que tout est affaire.
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3 Apprenez ce que vous pouvez de la lettre. Un excellent moyen de gérer les bordereaux de rejet consiste à éliminer tout ce que vous pouvez d'un éditeur ou d'un agent. Si vous n'avez pas reçu de lettre-type, prenez le temps de le relire, examinez les suggestions et les critiques et faites peut-être quelques modifications.
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4 Renvoyez-le. Le simple fait qu'un éditeur ou un agent ait décidé de transmettre votre travail ne signifie pas que tous vont le faire. Vérifiez votre liste d'options de publication et préparez-vous à réessayer.
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5 Célébrez chaque fiche de rejet. Cela peut sembler étrange, mais le fait que vous ayez reçu un bordereau de rejet signifie que vous avez eu le courage de le faire en premier lieu. Donnez-vous une tape dans le dos parce que de nombreux écrivains ne parviennent jamais aussi loin.
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6 Continuez à écrire. Une fois que vous vous êtes levé du dernier bordereau de rejet et que vous avez trouvé la prochaine option de placement, reprenez le travail. Ne laissez pas l'auto-apitoiement à paralyser votre créativité et à mettre votre énergie sur la page.
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